Gauvain Le Blanc

Maitre archer, bourreau, scénette

 

BIOGRAPHIE

 

Un temps détaché en la forteresse de Couzan par le comte du Forez,Gauvain ,le jour de l'attaque des routiers se reposait chez lui.N'écoutant que son courage et son sens du devoir et saisissant arc et flèches , il répondit à l'appel des chevaliers levant une troupe pour défendre la ville.Pour le récompenser,le comte du Forez le nomma maitre archer de l'ordre de la tour, et lui confia également la charge de bourreau pour punir les routiers fait prisonnier au pied de la tour de la barrière.

Dame Catherine

Broderie, Cuisine, Intendance

 

BIOGRAPHIE

La douce Dame Catherine, le jour de l'atttaque des routiers, était en train de mitonner un des petit plat que son Gauvain de mari aimait tant. Elle aussi n'hésita pas un instant à venir défendre la ville, et au pied de la tour de la barrière, elle assoma plusieurs routiers à grand coup de poële. Quand le comte du Forez arriva sur le champ de bataille cette vision l'ému fortement et le fit rire à la fois. Selon ses dires : "Une maitresse femme qui manie à la fois, l'aiguille et la poële de si fort belle manière doit être récompensée ! "

Il nomma Dame catherine cuisinière, intendante de l'Ordre de la Tour et brodeuse personnelle de sa mesnie.

Damoiselle Blanche

Filet, Tissage, Tir à l'arc, Scénette

 

Je suis la seule fille de Dame Catherine et de Gauvain le Blanc, et je suis à marier comme aime à le dire mon père. Cependant, j'aime être libre et c'est pour cela que j'ai repoussé avec force tout les prétendants qu'il avait choisi pour moi. Connaissant mon mauvais caractère, mes parents n'ont pas insisté, préférant mon bonheur malgré la situation que provoque mon célibat. Mais je suis têtue et je me moque de ce qu'on peut dire de moi dans la ville.

Fille d'un archer, c'est tout naturellement que j'ai appris à manier arc et flèches pour m'amuser car je n'aime pas la chasse. Cependant j'ai dû me résoudre à la chasse à l'homme. En effet, lors de l'attaque de la ville de Montbrison, ma ville, je ne pouvais rester sans rien faire, et, afin de protéger ceux que j'aime, familles et amis, je pris mon arc et suivit mon père, sans penser au danger. Je devais défendre la ville de mon enfance. C'était ainsi. Après l'assaut, mon père a été nommé maître archer et je suis heureuse d'avoir été choisit par lui pour être parfois, son second.

Fière d'être un archer de l'Ordre de la Tour avec mes amies, je n'en reste pas moins une jeune femme et je sais manier l'aiguille et la cuillère (deux armes qui peuvent être redoutables). J'aime passer des heures, lorsque je ne suis pas avec mon arc, à faire les filets que nous portons dans nos cheveux, ou à cuisiner lorsque nous sommes en campagne, car je suis toujours les fiers chevaliers de la Tour. Cela me permet de rire et de commérer avec mes amies que j'aime comme ma famille. J'aime rire et m'amuser aussi car cela fait oublier les tracas de la vie.

Je suis une fille unique en mon genre et j'aime à l'assumer. Parfois traitée de sorcière de par la couleur de mes cheveux, je n'en ai cure et aime à sourire à ceux qui disent du mal de moi. Ne vous fier pas à mon air angélique, se cache en moi une féroce combattante qui a foi en sa flèche et qui vous sert à table chevaliers...

Si je suis partie vers d'autre contrée lointaine pour suivre mon coeur et trouver peut-être mon chevalier, je n'en demeure ma moins fidèle à ma famille et ma compagnie.

Tristan de Calade

Chevalier, Lice, Mélée, Habillage du chevalier, Adoubement

 

Je suis le troisièmes fils d’Hector du piémont (Italie) dit le chat, mes deux frères avaient leurs destinées toutes tracées à savoir la reprise de la seigneurie de mon père pour le premier et l’entrée dans les ordres pour le second.

Le jour de mon adoubement je vis mes deux frères et mon père mourir sous mes yeux lors de la défense de la Sacra San Michèle à Saint Abrogio du Turin (Italie) à la suite d’une sordide guerre de territoire.

Pris d’une rage folle je parviens à repousser les envahisseurs jusqu’au moment ou une flèche vient me toucher et me faire tombé face contre les pavés menant à la Sacra.

Lors de mon réveil je vis également les pavés d’une rue, mais cette rue était celle d’une ville appelée de nos jours Villefranche/Saone, je venais d’être sauvé par un moine de la Sacra qui voulant me protéger m’avait conduit dans cette ville.

Ce moine fût mon père spirituel et au vu de ma mort et de ma renaissance sur les pavés me donna le nom DE CALADE qui signifie rue pavée.

En respect et en gratitude pour mon sauveur je partie dans la Comtat Venaissin pour me mettre au service de sa sainteté Clement V PAPE d’Avignon, mais ma foi en la haute église fût de courte durée voyant les proches de sa sainteté vivant comme de véritable roi et écrasant le peuple par leurs richesses et leurs forces armées.

C’est lors d’une promenade incognito parmi les gens du peuple que ma vie fût bouleversée, l’amour me toucha en plein cœur, à la vue de cette jeune servante du seigneur de COUZAN nommée EMMA.

C’est donc après accord de sa sainteté Clément V que j’ai quitté les terres Pontificales pour vivre mon amour avec EMMA en terre du Forez, me portant par le fait au service du Seigneur du FOREZ qui me fit Capitaine du Forez défenseur de la justice de la liberté et du respect des Hommes.

Suite à cela, je m'installa avec ma mesnie dans une ville qui fut rapidement en danger suite à l'attaque de routiers, c'est avec une immense fierté que je mis mon épée au service de ma ville et combattis à coté de paysans, marchands, femmes et hommes pour défendre notre ville bien aimée.

Cette poignée de personnes qui était préte à mourir pour défendre leur liberté constitua L'ORDRE DE LA TOUR dont j'ai la fierté de faire partie.

 

Dame Emma de Calade  

Archer, commère et souffre douleur du maître archer

 

Emma de calade épouse de Tristan rencontré quelques années auparavant. De cette union est née Rose-Elisabeth .

Quand le danger se fait sentir je n'hésite pas à prendre mon arc pour défendre la tour mais surtout les miens.

Et quand heureusement  c'est plus calme je prends soin de moi.

 

Clémentine


Troisième et dernière fille du clan Calade, je suis bien plus calme que mes deux sœur !

Mais attention, le calme avant ...

Rose-Elisabeth

Réveil matin et alarme pour les repas !

 

Seconde du clan Calade, Gauvain le maitre archer veut faire de moi une de ses recrues, mais mon intéret pour les belles choses et la bonne cuisine, m'attirent beaucoup plus vers dame Catherine

Eloïse

 

Une des plus jeune archer de la troupe.

je suis Eloise fille du sieur Tristan ainée des filles Calade

je suis une grande amoureuse des animaux et 

de la vie paisible de l'ordre de la tour.

Mais j'accompagne ma mesnie sur les routes afin de 

prendre part aux combats, car même si je semble faible 

et innofensive je suis un redoutable archer de plus je préfére

cela aux divers devoirs du à mon rang !

Aélys

Archer, commère

 

[En cours]

Gilles d'Essalois
Chevalier

 

[En cours]

EMERYC DE COPPEL. Fils de GUILLAUME DE COPPEL et de MATHILDE DE MERCUROL, Je suis de sang noble, Seigneur de COPPEL, Chevalier fiéfé en bonne terre du Comté D Auvergne,Vassal du comte ROBERT D 'Auvergne.

Chevalier, adoublement d'enfants  

Mon pére voulait faire de moi un homme d'armes et à l'age de 8 ans je fus placé comme Page en castel de BUSSEOL où j'ai servi mon oncle, le seigneur THIBAUD DE BUSSEOL. Là je fus à son service, l'habillant à matine et le servant à tablée. J'ai reçu une éducation stricte et morale d'un abbé m' apprenant le latin et les Très Saintes règles de l'Eglise de Rome. J'ai appris les nobles arts de la guerre, à manier l'épée, la hache à deux mains et le fléau d armes. Les sergents d'armes de THIBAUD m' ont également appris à monter à cheval, chasser à coure, et, au galop à me servir d'une lance ainsi que d'un bouclier. Agé de 14 ans je fus fait écuyer de THIBAUD DE BUSSEOL, m'occupant de ses chevaux, lui portant l'écu et ses armes sur les champs de bataille. A l'age de 17 ans, je fus adoubé Chevalier et m'embarquais aux cotés du bon roi LOUIS IX pour la Septieme Croisade.

 

 J'ai combattu sous les ordres du Comte ROBERT d'Auvergne en Egypte et defendu les murs de Jérusalem. De retour de croisade, en 1254, remontant sur mes terres je sauvais la vie à dame YSELDA qui fuyait les géoles des routiers du FOREZ. Faisant halte dans la bonne ville de MONTBRISON je rencontrais TRISTAN DE CALLADE et le sieur Maitre  des archers GAUVIN LE BLANC .Ils m'ont parlé des nombreuses attaques des routiers qui pillaient les seigneuries du FOREZ. TRISTAN DE CALLADE et GAUVIN LE BLANC recrutaient des Chevaliers pour defendre la citée de MONTBRISON, je décidais donc, non seulement de mettre mon épée au sevice de L'ORDRE DE LATOUR, mais également de venger les tortures que ces marauds de routiers avaient infliger en ROUSSILLON à dame YSELDA. Je prettais donc serment à L'ORDRE DE LA TOUR !!!!

 

Léo de Rochetaillé

Chevalier

 

[En Cours]

Dame Isaure de Pont-Picot

(Archer, commère)

 

Je suis Dame Isaure de Pont-Picot, j’ai suivi les enseignements que l’on donnait aux dames de noble sang, curieuse de tout, j’ai aussi appris le maniement de l’arc de guerre.

Alors que je me languissais auprès de l’épouse du Seigneur de Montgascon à qui je tenais compagnie, je rencontrai Xavier de Saint-Floret.

Au premier regard, j’ai su que pourrai suivre cet homme où qu’il veuille aller. Après nos épousailles c’est avec fierté que je quittai mon fief auvergnat pour suivre mon chevalier, tout deux avides d’aventures et de nouveaux paysages.

Lors de notre halte dans la belle ville de Montbrison, nous avons été attaqués par des routiers. C’est avec bravoure que je pris mon arc pour protéger cette ville et couvrir de mes flèches les arrières de mon chevalier d’époux, parfois trop insouciant dans le combat. Après la victoire sur l’ennemi, le Comte du Forez m’a offert d’intégrer l’Ordre de la Tour.

Je n’ai pu refuser……

Xavier De Saint Floret, Chevalier de Champeix
(Chevalier)

 

Je m’appelle Xavier De Saint Floret, je sui Chevalier de Champeix et sui surnommé « Le Chanceux ». Bâstard et second fils du Seigneur René de Champeix, enlevé par ce dernier peu après ma naissance, je n’ai point connu ma mère. Mon père m'a reconnu comme fillôt, éduqué et enrôlé dans son host dès mon plus jeune âge. En 1225, il a esté contraint par son suzerain, Dauphin d’Auvergne, Comte de Clermont, de lui céder la seigneurie de Champeix en échange de celle de Saint Floret. Il changea de nom pour devenir René de Sait Floret. Instruit par le Chanoine de Tulle, dont j’ai esté l’homme de main, j’ai appris à lire, à compter, à chanter. Chargé de ses basses besognes, j’ai développé en secret une aversion pour les hommes d’Église, de leurs complots, et de leur cupidité. Lors d’un voyage vers le Puy en Velay, nous somes tombés dans une embuscade, à trois contre cinq, l’issue de la bataille auroit du nous être fatale! Par miracle ne survivront, ce jour là, que le moine et moi, qui l’ai sauvé de justesse. Reconnaissant, l'homme l'Église a oeuvré pour que l’Evêsque de Clermont me fasse Chevalier et j’ai esté adoubé peu après. Mon épée a esté bénie et baptisée "Chance" , ma devise « Crains ma Chance » vient de là ! Les armoiries de mon écu racontent tout cela, et j’esteroi ravi de vous l’espliciter en vous comptant mon histoire plus en déstail. Un an et demi après, le Chanoine estoit mort mystérieusement, l’Evêque de Clermont m’a dépossédé des terres q’il m’avoit octroyé et je suis parti à l’aventure. C’est en prêtant main forte au Seigneur Robert Faucon II De Montgascon, attaqué par une troupe de routiers, que j’ai rencontré une Dame de compagnie de son épouse : Dame Isaure De Pont Picot. Face à notre amour, et après la victoire sur son ennemi, Montgascon nous a permis de nous unir devant Dieu et j’ai épousaillé la belle. Aujourd’hui, j’estois Chevalier errant, sans terre, mais heureux et libre... J'ai rencontré Ghautier De Damas, Seigneur de Couzan dans une taverne, et comme nous avons le goût des boissons et de l'aventure en commun, je l’ai suivi dans ses campagnes pour le compte du Seigneur de Forez. C’est ce qui m’a permis de faire la connoissance de, Callade, Rochetaillée, Essallois, Coppel, et les autres, en devenant compaings d’armes et amis, mais aussi de leurs familles, ainsi que de la famille de Gauvain le Blanc. Je fui présent lors de l’attaque de la ville par les routiers et ai combattu avec ardeur pour sa défense au coté de mes amis et des habitants. Aussi, ai-je eu l’honneur, après la victoire, de me voir proposé d’intégrer l’Ordre de la Tour… J’ai évidemment accepté !!!

ASTORG MORIN

Je ne connais pas mes parents, mais j'ai été adopté par un couple de paysans, Blanche et Anselme. Pour moi cette adoption s'est faite sous le signe de Dieu, je dois donc le respecter et croire en cette nouvelle famille modeste.

Mon père adoptif m'a élevé comme il l'aurait fait avec son enfant. Il m'a transmis les connaissances du travail paysan : les durs travaux de labeurs, l'étouffante chaleur de la forge, l'usante pesée du marteau et de la fourche. Mais il m'a également appris les savoirs faire de ses ancêtres : le frisson de la semée, l’excitation des récoltes du blé, l'amour et le respect des animaux, et surtout, l'ivresse folle et la passion démesurée de la vigne et du vin !

Ma mère quant à elle, m'a enseigné des rudiments mal-vus pour l'époque, mais très utiles : la patience de la couture, la gourmandise de la cuisine, et l'instinct du commerçant.

Mon père a remarqué dès mon plus jeune âge une aisance et une certaine adoration pour les outils tranchants. Il m'a donc forgé une petite hache afin que je puisse exercer cet amour sur la dureté et la résistance du bois. Un matin, alors que je continuais mon travail de bûcheron avec ma hache que j'avais surnommée « Mathilde », j'entendis un cavalier accompagné par d'autres hommes armés se rapprocher de moi. C'était notre seigneur Emerice de Coppel. Venant prier Notre Dame à l’église de Roche, il s’arrêta devant moi et me demanda qui j'étais et ce que je faisais. Je lui répondais que je coupai du bois pour fabriquer des outils, me chauffer et réparer mon humble toiture. Il me fit remarquer que je maniai la hache avec ferveur et distinction, ce qui me fit rire car pour moi, elle me servait simplement à couper du bois, et me défendre d'éventuels pillards. Il me proposa de rejoindre son armée prête à partir pour la Terre Sainte. Je ne voyais aucun intérêt de partir attaqué un peuple innocent que je ne connaissais pas. Emeric me persuada de venir avec lui pour défendre l'honneur et les intérêts de Dieu. Il ajouta également que cette expédition pourrait amélioré ma situation de simple paysan. Soulevant le problème de l'argent à mes parents adoptifs, je leur expliquai que je devais à tout prix réaliser cette quête pour remercier Dieu de m'avoir mis dans ce foyer. Ne pouvant me retenir, ils ont respecté ma décision.

A partir de là, je fus au service de notre Seigneur. Nous sommes partis de la ville d'Aigues-Mortes. J'avais pour compagnon, ma hache Mathilde, la lance de mon père. Lors des premières batailles, mon cœur s'emballa d’entendre ces cris, de voir ce sang et ces morts tapissant le sable des champs de batailles. J'ai très vite compris que pour survivre, il ne fallait pas de pitié. Je n'en ai eu aucune. Après chaque bataille, je pillai les morts en espérant trouver des armes d'une meilleur robustesse. J'ai pu me constituer un équipement plus résistant, un bouclier rond, un casque, des bottines, et puis plus tard, un haubert. Pendant les jours « calmes », j'étais chargé de réparer l'équipement des soldatiers abîmé par les affrontements. Le seigneur ne me reconnaissait pas, ou plutôt devrais-je dire que je ne représentais aucun intérêt à ses yeux. Quelques jours plus tard, les turcs nous ont tendu une embuscade. En peu de temps, notre armée fut en deroute. Notre seigneur fut blessé à l'épaule par une volée de flèches envoyée par des turcs cachés par une falaise. Je décidai de défendre notre seigneur. Nous nous sommes regroupé avec une poignée d'hommes autour de notre seigneur pour le protéger. Je courus l'aider à se relever, lui redonnai son épée et l'accompagnai à se battre. Après cette bataille, il me fit appeler. Il ne me remercia pas, et prononça cette phrase : « la mort n'a d'égal que la lame de mon épée ». Il m'éleva au titre de sergent d'arme pour les faits que j'avais accompli. Cette guerre a laissé en moi une cicatrice que je n’oublierais jamais. Depuis que je suis rentré en terre d'Auvergne, j'ai décidé de rester et de servir notre seigneur de Coppel. Depuis cela, j'ai pu grâce à mon statut, me payer un équipement digne de ce nom. J'entraîne désormais les jeunes soldats voulant se battre pour libérer la Terre Sainte.

Dame Camille

Ne vous fiez pas à son sourire, c'est une fière combattante qui ne vous laissera aucune chance !

Nos autres membres sont en pleine écriture de leur biographie...
Cela pourait prendre du temps quand on sait que la plus part sont chevaliers... 

Bienvenue sur le site de L'Ordre de la Tour, 

association loi 1901 de reconstutition médiévale.

 

"Même si l'Histoire enterre notre passé, notre mémoire continue d'exister." 

(JP Méfret)